Milo, la créatrice de “Milo Bohème”

Un parcours atypique, des idées, des aventures et des aléas : une histoire de bijoux et d'accessoires qui ne s'invente pas !

Mon histoire... 

Milo Bohème s’est imposée à moi très récemment,

mais son histoire s’écrivait en secret depuis bien longtemps...

Des études artistiques ? Non. Des études de bijouterie, de joaillerie ? Non, en fait...

J’ai un master en langues étrangères ! Cela remonte à plus de dix ans maintenant ! 

C’est grâce à ce parcours que j’ai eu la chance de découvrir pas mal de pays et me suis ouverte à d’autres cultures. 

Milo est née de là !

Tribulations taïwanaises

Lors de ma dernière année d’étude, j’ai vécu un an à Taipei, la capitale de Taïwan.

Alors, oui, cela peut prêter à sourire : une française qui prône le " Made in France ", l’empreinte carbone réduite… qui commence son aventure à Taïwan ! Made in Taïwan, n'est-ce pas...

Mais que s’est-il donc passé là-bas ? La découverte d’un « truc de fille »…

Le nail art !

Je connaissais déjà mais on ne trouvait pas encore tout ça en France à cette époque, du moins ce n’était pas très répandu !

Des ongles et de l’art

Vous l’avez forcément déjà observé : ces ongles fascinants, des vraies œuvres d’art miniatures venues d’Orient, très développées aux États-Unis et aujourd’hui tout à fait répandues en Occident. Que l’on aime ou pas, quelle minutie, n’est-ce pas ?

C’est donc devant le talent taïwanais que j’ai commencé à m’intéresser de près au nail art, jusqu’à m’y essayer moi-même.

D’abord en amateure, et puis en professionnelle… par les aléas de la vie.

Rupture et aventure

La vie en entreprise, la vie de salariée... Parfois, les choses ne se passent pas comme on l’aurait souhaité ! Je ne m’attarderai pas sur mon épopée d’assistante de direction bilingue, mais disons simplement que certaines ruptures professionnelles sont parfois nécessaires… et même salutaires !

Fini de subir, de laisser le monde diriger mes actes et mes pensées : il était temps de me connecter à ce que j’aimais !

Quitte à retrouver les bancs d’écoles...

Prothésiste ongulaire

Eh oui ! Le nail art, et par extension la beauté des ongles, il ne suffit pas de poser son tabouret, de sortir quelques pinceaux et de s’éclater ! Comme tout métier, il y a des règles, des codes, un savoir-faire… et ça s’apprend.

Ainsi, j’ai passé un CAP esthétique en un an, avec en parallèle un CQP styliste ongulaire : deux précieux sésames pour être reconnue en tant que professionnelle et... démarrer son activité ?

J’étais prête à me lancer fièrement à mon compte, quand soudain… la Covid est arrivée.

Pandémie et adaptation

2020. Quelle année, vraiment ! Ma migration vers Lille a été abandonnée, et ouvrir en tant qu’esthéticienne lorsque le métier est interdit et le monde entier confiné… mauvaise idée !

Mais alors… que faire ? Attendre le vaccin, pour éviter le risque de contaminer mes proches et mes clientes ? Financièrement et temporellement peu réaliste.

Pas de panique : l’entreprenariat, c’est de l’action… c’est de l’adaptation. Vivre ou mourir !

Je suis une pie !

Oh ! à propos du cycle de la vie… je ne vous ai pas dit ! Je suis une pie ! Ou en tout cas, c’est comme ça que mon compagnon aime me définir… Simplement parce que j’aime ce qui brille !

Et qu’est-ce qui brille ? Les bijoux ! Une petite armoire pleine…

Hé ! mais attendez… On dirait que les pièces du puzzle s’assemblent…

Nail Art, peinture, bijoux... écologie

Récapitulons : j’aime les bijoux, j’aime le nail art, j’aime le dessin et la peinture, et je m’inquiète très sincèrement sur ce que l’avenir climatique nous réserve…

C’est décidé : ma minutie, ma touche artistique, ma fascination de pie, mes engagements écologiques...

C’était tout trouvé.

Mon aventure pouvait continuer... et Milo Bohème, elle s'appellerait !

L'aventure continue... avec vous !